Kazakhstan choisit les Su-30SM russes, renonce aux Rafale français.

Le Kazakhstan a opté pour l’acquisition de chasseurs Su-30SM fabriqués en Russie, écartant ainsi l’option des Rafale français. Cette décision renforce les liens en matière de défense entre le Kazakhstan et la Russie, tout en soulignant l’évolution des alliances militaires et des stratégies de défense dans la région.

Les Su-30SM, variantes modernisées du célèbre Su-30, sont réputés pour leur polyvalence. Ils peuvent exécuter une gamme étendue de missions, depuis la supériorité aérienne jusqu’à l’attaque au sol, ce qui les rend particulièrement attrayants pour les forces armées kazakhes. De plus, ces appareils sont compatibles avec divers types d’armements russes, ce qui facilite leur intégration dans l’arsenal existant du pays.

Le choix du Su-30SM par le Kazakhstan semble être motivé par plusieurs facteurs, dont la familiarité avec la technologie militaire russe et les considérations économiques. Les forces aériennes kazakhes opèrent déjà plusieurs avions de fabrication russe, et l’acquisition des Su-30SM permet une certaine uniformité technique et logistique.

Ce renforcement de la coopération militaire entre le Kazakhstan et la Russie pourrait avoir des implications régionales, notamment en termes d’équilibre des pouvoirs en Asie Centrale. En décidant de ne pas procéder à l’achat des Rafale français, le Kazakhstan montre également une préférence géopolitique qui pourrait influencer ses relations avec d’autres puissances mondiales.

Il convient de surveiller comment cette acquisition influencera la dynamique de sécurité régionale et les futurs choix militaires et stratégiques du Kazakhstan en matière de coopération internationale et de défense.