Le Pakistan perd des drones Wing Loong II après une frappe de l’IAF sur la base aérienne de Sukkur

Le Pakistan a récemment subi des pertes importantes de drones Wing Loong II suite à une frappe menée par l’Indian Air Force (IAF) sur la base aérienne de Sukkur. Cette opération, qui illustre les tensions persistantes entre les deux puissances régionales, a eu des répercussions directes sur les capacités de surveillance et de renseignement de l’armée pakistanaise.

Selon des sources militaires, la frappe ciblée de l’IAF a endommagé plusieurs plateformes aériennes sans pilote, notamment des drones Wing Loong II. Ces véhicules aériens, d’origine chinoise, sont réputés pour leurs capacités de reconnaissance et d’attaque de précision. Leur perte constitue un coup dur pour le Pakistan, qui investit dans ce type de technologie pour renforcer sa doctrine de combat et sa puissance aérienne asymétrique.

La base aérienne de Sukkur est un site stratégique, abritant des unités clés de l’armée de l’air pakistanaise ainsi que des installations de maintenance et de contrôle pour ses systèmes de drones. Sa vulnérabilité exposée par cette attaque souligne les faiblesses en matière de défense aérienne et de sécurité des infrastructures militaires au Pakistan.

Cette action de l’IAF reflète une montée en intensité des hostilités entre l’Inde et le Pakistan, pays historiquement en conflit sur plusieurs fronts, notamment la région contestée du Cachemire. L’utilisation croissante de drones armés dans la guerre moderne marque un changement tactique majeur, où la suppression des actifs de surveillance ennemis devient cruciale pour le contrôle du théâtre des opérations.

En réponse, le Pakistan devrait vraisemblablement renforcer la protection de ses bases aériennes et accélérer le renouvellement ou la diversification de sa flotte de drones pour limiter les impacts stratégiques de telles frappes.