En 2024, huit des dix districts de la région de Jammu ont été récemment frappés par des attaques terroristes, causant la mort de 44 personnes, dont 13 assaillants. Cette série d’incidents souligne une recrudescence significative de la violence dans cette zone particulièrement sensible du Cachemire.
Les forces de sécurité ont été engagées dans plusieurs opérations visant à neutraliser les groupes armés responsables des attaques à travers Jammu, une région stratégique et contestée entre l’Inde et le Pakistan.
Selon des rapports officiels, ces attaques ont ciblé aussi bien des forces de l’ordre que des civils, accentuant ainsi l’instabilité sécuritaire dans la région. Les opérations antiterroristes se sont soldées par la mort de 13 terroristes, ce qui illustre la riposte vigoureuse des autorités locales.
La répartition des incidents à travers 8 districts sur 10 indique une dispersion large de ces actions violentes, ce qui complique la tâche des forces indiennes dans la coordination de la sécurité et du renseignement.
La situation sécuritaire reste donc tendue, alors que la région de Jammu, tout comme la vallée du Cachemire, continue de subir les conséquences des affrontements entre groupes insurgés et forces gouvernementales. Les autorités ont renforcé leurs mesures pour contenir le terrorisme, mais le risque d’incidents demeure élevé.
Ce contexte met en lumière les enjeux géopolitiques au carrefour de tensions entre New Delhi et Islamabad, chaque attaque alimentant un climat d’instabilité persistante dans cette zone disputée.
