Un cessez-le-feu fragile entre Israël et le Hamas est entré en vigueur, mettant fin à plusieurs jours d’affrontements meurtriers dans la bande de Gaza. Cette trêve, négociée avec l’appui international, vise à stopper les hostilités et permettre la reprise des négociations diplomatiques.
Le cessez-le-feu a été officialisé à minuit, heure locale, après plusieurs tentatives infructueuses. Depuis le début de la dernière escalade, des centaines de civils ont été tués, majoritairement du côté palestinien, et de nombreuses infrastructures ont été détruites.
Les forces israéliennes, de leur côté, ont subi des attaques à la roquette en provenance de la bande de Gaza, provoquant des réactions militaires immédiates. La communauté internationale, à travers les Nations unies et plusieurs pays, a appelé à la retenue et à la protection des populations civiles.
Le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a déclaré respecter le cessez-le-feu, tout en restant vigilant face à toute reprise des opérations militaires. Israël a quant à lui souligné que le respect de la trêve serait conditionné à la cessation complète des tirs et des activités hostiles.
Cette nouvelle accalmie doit permettre la livraison d’aides humanitaires indispensables et la reconstruction des infrastructures critiques. Elle intervient dans un contexte régional tendu, où les enjeux géopolitiques autour du conflit israélo-palestinien restent extrêmement complexes.