Le 25 avril, Kiev a subi une nouvelle attaque majeure, avec le lancement de 14 missiles balistiques russes ayant ciblé la capitale ukrainienne. Cette offensive, caractérisée par sa violence inédite depuis plusieurs semaines, a provoqué la mort de 13 civils en l’espace de 24 heures, selon les autorités locales.
Les impacts des missiles ont touché plusieurs quartiers résidentiels ainsi que des infrastructures civiles, causant d’importants dégâts matériels. Les services d’urgence et les forces de sécurité ukrainiennes ont été mobilisés pour porter secours aux victimes et sécuriser les zones affectées.
Cette attaque intervient dans un contexte de tensions accrues entre la Russie et l’Ukraine, où les frappes à longue portée jouent un rôle stratégique dans les opérations militaires russes visant à déstabiliser les capacités de défense et à semer la terreur parmi la population civile.
Le gouvernement ukrainien a une nouvelle fois condamné cette agression qualifiée de « terroriste », soulignant la volonté de Moscou de prolonger le conflit par des moyens destructeurs indiscriminés. Le président Volodymyr Zelensky a réaffirmé la détermination de Kiev à résister et à poursuivre sa défense face à l’envahisseur.
Dans la foulée de cette attaque, plusieurs autorités internationales ont exprimé leur soutien à l’Ukraine, appelant à une intensification des sanctions contre la Russie et à une aide accrue pour la protection des populations civiles.
Depuis le début de l’année, l’usage massif de missiles balistiques et de frappes aériennes russes contre des zones urbaines fait partie d’une stratégie de guerre visant à dégrader les infrastructures, les réseaux de transport et à affecter le moral des civils. Cette attaque record à Kiev témoigne de l’escalade continue de la violence dans ce conflit désormais prolongé.